I’m back ! J’en ai pris plein les mirettes, et surtout j’y serai bien restée plus longtemps…
Plus de 400 photos, que j’ai péniblement réussi à réduire à 200
100 km de route, pour 4 heures de trajet (la faute aux routes kenyanes)
3 levers à 5h55 du matin (l’exploit du siècle pour les 2 marmottes membres de l’expédition)
3 et ½ vues privilégiées sur les 5892 m du Kilimandjaro, plus haut sommet d’Afrique
Rencontres avec 11 lions, 13 hippos, 1 guépard, 7 girafes, des dizaines de zèbres, des centaines et des centaines de gazelles, buffles, oiseaux, et puis surtout… d’innombrables éléphants.
Car ce sont eux les stars d’Amboseli. C’est très probablement l‘endroit ou on peut en observer le plus au Kenya. Des troupeaux entiers…
Et je ne m’en lassais pas. J’ai d’ailleurs eu la chanson du livre de la jungle dans la tête la moitié du temps [ayez une petite pensée compatissante pour Laura, qui a dû me supporter pendant 3 jours… pauvre p’tite blonde perdue en Afrique avec une cinglée dans mon genre].
Je vous laisse donc en compagnie de ces massifs pachydermes :
Et puis comme on a le cul bordé de nouilles est vraiment chanceuses, on a eu l’occasion d’observer un combat de mâles,
Avec une récompense pour le vainqueur [Attention, scène X :]
Et sinon, deux, trois bidouilles que vous ne saviez peut-être pas sur les éléphants :
1/ On ne dit pas une mémoire d’éléphant, mais une mémoire d’éléphantE. Et oui, ce sont les vieilles éléphantes à la tête du troupeau, les matriarches, qui se souviennent de tout, d’après une étude récente, conduite à Amboseli par Karen McComb. Elles ont un grand répertoire de sons des membres de la horde, une connaissance des points d’eau, des pistes, et même des limites exactes des parcs nationaux…
2/ Il est très courant de voir deux ou trois piafs squatter le dos de ces grosses bébêtes. Apparemment, ils les débarrasseraient de leurs parasites. Une collaboration fructueuse.
3/ Les éléphants peuvent causer beaucoup de dégâts, ils détruisent les arbres et piétinent tout sur leur passage; c’est pour ça qu’il n’y en a pas dans le parc de Nairobi, entre autres. Les mâles se baladent plutôt tous seuls, tandis que les hordes sont composées des femelles et de leurs petits (qui sont trop chous… coup de cœur génération Dumbo).
C’est tout pour aujourd’hui, (quoi, quoi, on ne râle pas, les lions ça sera pour la prochaine fois, et pi c’est tout !)
Bisous avec encore un peu de poussière de safari dessus…
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